
Voici la première et la dernière phrase du livre L’arrache-cœur de Boris Vian.
« Le sentier longeait la falaise.
…
Le vent passait entre les barreaux. »
2 phrases inédites que Boris Vian n’a probablement pas écrit pour être lues l’une après l’autre … et pourtant, venant de lui, ne serait-ce pas possible ?
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