#48 Le Sens De La Vie

Le Sens de la vie

Hello et bienvenue sur ce nouvel article du blog qui cherche à être ::Zen & Relax:: par la Triangulation de Soi. Les paragraphes qui suivent vont vous présenter le film « Le Sens de la vie », sortie en 1983 par les Monty Pithon … groupe de comédiens Britanniques inimitables.

L’idée de vous parler de ce film m’est venu suite à la proposition d’une amie blogueuse, Alice, à participer à un carnaval d’article sur le thème « Les films qui nous font rire ».

Pas facile de trouver un film en particulier, qui de plus pourrait être en lien avec le thème du blog. Mais après une petite séance introspective, assis au pied d’un arbre, « Le sens de la vie » s’est manifesté.

Avant de vous raconter le film, laissez-moi vous présenter le blog d’Alice l-univers-du-bonheur.fr. J’apprécie particulièrement ce blog car il est plein de surprises et parfois un peu décalé. Les sujets traités sont toujours en lien avec la recherche de son bien-être, et j’aime beaucoup l’approche d’Alice …. et je vous laisse découvrir cet article 3 techniques d’ancrage simples pour tous, en méditation de pleine conscience, pour notre bien-être.

« Le Sens de la vie »

J’ai découvert ce film en 1984 lorsque j’étais en première année d’université … et je dois vous dire que j’ai ri du début à la fin … je connaissais déjà les Monty Pithon avec leurs films « La vie de Brian » et « Sacré Graal », donc je savais à quoi m’attendre et je ne fut pas déçu.

Leur humour Britannique, burlesque, caustique … que l’on retrouve en France avec les « Nuls » entre autre … a bercé mes années d’étudiant.

Pour vous raconter le déroulé de ce film « inclassable » j’ai repris la description du synopsis que j’ai trouvé sur l’article Monty Python : Le Sens de la vie du site Wikipedia.

Dans l’aquarium d’un grand restaurant, des poissons observent leurs anciens camarades se faire manger par les clients humains. Philosophes, ils se mettent à discuter du sens de la vie, et suivent avec intérêt une émission de télévision qui aborde précisément ce thème. Sur cette base, le film enchaîne divers sketches qui abordent les différentes étapes de la vie, de la naissance à la mort (et au-delà !) en passant par la guerre, la religion, l’éducation sexuelle, la quête de bonheur, le don d’organes et les matches de rugby profs-élèves… Le film est précédé par un court-métrage de Terry Gilliam, The Crimson Permanent Assurance et est découpé en 7 parties.

Prologue : le court métrage The Crimson Permanent Assurance

Il était une fois à Londres en 1983, une révolte éclatant chez les assurances Crimson. Les vieux employés opprimés chassent les jeunes patrons hors de l’immeuble, puis lèvent l’ancre pour naviguer avec l’immeuble (comme un bateau) hors de Londres. Plus tard, ces employés, devenus pirates, attaquent la puissance financière pour la détruire. Enfin, le soir de l’attaque, l’immeuble Crimson quitte les ruines de cette puissance, avant de s’engouffrer dans le néant au bout de la Terre (car elle était plate dans le film).

PREMIÈRE PARTIE : Le miracle de la naissance

Deux obstétriciens font une démonstration devant des journalistes d’un accouchement avec utilisation (absurde) de la technologie.

Un énième enfant naît dans une famille catholique. Le père, récemment au chômage, décide d’offrir les enfants à la médecine expérimentale. Chez les catholiques, chaque naissance est sacrée, d’où la chorégraphie Every Sperm is Sacred. À la fin de la chorégraphie, les enfants quittent la maison pour la médecine expérimentale sous le regard très critique des voisins protestants qui expriment ce qui les différencie des catholiques.

DEUXIÈME PARTIE : Croissance et éducation

Après avoir assisté au sermon du prêtre de l’école de Sudbury, les élèves assistent à un cours d’éducation sexuelle normale, dans lequel le professeur emmène sa femme pour une démonstration. Mais un élève, Biggs, perturbe le cours et reçoit l’ordre de jouer au match du rugby contre des professeurs (victoire écrasante pour ces derniers avec peu de fairplay). Dix ans plus tard, on retrouve Biggs sur un champ de bataille pendant une guerre.

TROISIÈME PARTIE : Le combat

Un groupe de combattants (dont fait partie Biggs) offre des cadeaux à leur capitaine en se faisant tuer dans la bonne humeur ; heureusement, ce n’est qu’un documentaire diffusé par un instructeur qui explique au public (peu nombreux) ce qu’est l’armée. Il est ensuite foudroyé par Dieu. Pendant ce temps, dehors, un colonel donne l’ordre à sa compagnie d’aller défiler sur la place. Finalement, la compagnie est démobilisée soldat après soldat pour raisons personnelles et le colonel se retrouve seul à défiler.

On se retrouve à la bataille de 1879 contre les Zoulous. Un officier s’est fait voler sa jambe la nuit pendant la bataille. On pense d’abord à un très gros moustique, puis à un tigre. La compagnie se met en chasse du tigre. Elle tombe sur deux hommes déguisés en tigre qui essayent de s’expliquer. Nous arrivons au milieu du film.

LE SENS DE A VIE : Interlude

Au milieu du film est diffusé à la télévision un tournage de film « Trouver le poisson » que regardent les six poissons du début du film, qui le commentent.

QUATRIÈME PARTIE :L’âge mur

Un couple de quinquagénaires se rend dans un restaurant de conversation. Ils choisissent « Le sens de la vie » comme sujet de conversation (qui se révèle être inintéressant).

CINQUIÈME PARTIE : Le don d’organe

– Deux médecins se rendent chez un donneur d’organe pour lui prendre son foie sans anesthésie. Puis ils expliquent à sa femme, grâce à la chanson Galaxy Song, que c’est une bonne action de donner des organes ; convaincue, elle accepte.

– À « La Grande Compagnie des États-Unis » (grande puissance financière), une assemblée, dont le thème du débat est le sens de la vie, est interrompue par l’attaque des assureurs Crimson du court-métrage présenté avant le film. Après un court nettoyage, le film reprend.

SIXIÈME PARTIE :Le troisième âge

Dans un grand restaurant de renommée internationale, après une chanson peu raffinée interprétée par le pianiste, le terrible M. Creosote vient dîner. Les six poissons du film s’enfuient. M. Creosote avale un repas gargantuesque et commence à vomir régulièrement autour de lui, ce qui ne l’empêche pas de continuer à s’empiffrer. Alors qu’il semble enfin repu, un serveur insiste pour lui faire avaler un dernier chocolat, ce qui le fait exploser.

Plus tard, deux membres du personnel du restaurant, un serveur et une femme de ménage venue nettoyer le vomi, essaient d’expliquer ce qu’est le sens de la vie. Un garçon de table du nom de Gaston va montrer l’endroit où il est né.

SEPTIÈME PARTIE :La mort

– Un homme accusé de misogynie est poursuivi par des filles presque nues. Terrorisé il fuit. Mais son destin est écrit et il est attendu au bout de sa course fatale.

– Un arbre perd ses feuilles.

– La Mort en personne vient annoncer à un dîner que tout le monde à table va mourir d’une intoxication alimentaire. Tous les convives se retrouvent au paradis et assistent à la chorégraphie de Christmas in Heaven. Nous arrivons à la fin du film.

WHAOW … « LE SENS DE LA VIE » … QUELLE AVENTURE !!!

Vous l’avez compris ce film m’a marqué, et d’ailleurs il a fallut que je le revoit plusieurs fois pour déceler les messages secondaires, cachés en deuxième voire troisième plan.

En tout cas en préparant cet article, il m’est apparu qu’il y avait un lien avec avec la Triangulation de Soi. « Le sens de la vie » exprime le chemin de nos vies à la manière décalée des Monty Pithon. Mais pour autant cela permet d’ouvrir une porte de réflexion sur le sens de notre vie … Quelle est notre essence primordiale et comment pouvons-nous travailler dessus ?

qui sommes-nous et où allons nous ?

Le travail de Triangulation de Soi permet d’amorcer ce travail et trouver des pistes pour lâcher-prise et vivre l’instant présent afin de se désincarcérer du carcan de la matrice de notre société.

Ce qui m’a vraiment frappé fut le fait de réaliser que le film est divisé en 7 séquences de vie qui vont de la naissance à la mort … 7 cycles par lesquels nous franchissons les différentes étapes de conscience de notre vie. Ces 7 cycles ne sont ni anodins, ni aléatoires. En faisant une rapide recherche sur internet vous trouverez suffisamment d’articles qui expliquent que notre vie est rythmée par des cycles de 7 ans que nous vivons de notre naissance à 49 ans. Et puis ces 7 cycles recommencent de 50 à 98 ans … à moins que nous ne rejoignons notre dimension éternelle avant ce bel âge.

Prendre conscience que ce film pouvait également être lu par ce prisme fût une belle découverte. Et je ne peux que vous conseiller de lire l’article que j’ai publié sur nos cycles de 7ans … Notre cycle de vie humain

notre cycle de vie humain

En résumé – « Le Sens de la vie »

Le « Sens de la vie » est à première vue un film burlesque, décalé et satirique de la vie que nous menons. Les Monty Pithon étaient des maîtres pour nous emmener dans des univers de divertissement avec plusieurs niveaux de lecture et de d’analyse. « Le Sens de la vie » n’y échappe pas et, au-delà de toute la dimension « hilarante » du film, nous pouvons retrouver la portée universelle de ces 7 cycles qui jalonnent nos vies.

Et vous ?

Connaissiez-vous ce film des Monty Pithon « Le Sens de la vie » ? Aviez-vous conscience que nous passions par 7 cycles de 7 ans ? Souhaiteriez-vous analyser l’impact de ces cycles sur votre vie par un travail de Triangulation de Soi ?

Si vous avez aimez l'article, vous êtes libre de partager ! :)
 
       

7 réflexions sur « #48 Le Sens De La Vie »

  1. Et bien dis donc, il date de 1983 ! C’était une belle année 😉 !
    J’en suis encore plus sûre maintenant 🙂 !
    J’adore les poissons et le thème du film. C’est intemporel !
    Merci Eric !

  2. Merci Eric pour ce super article ; alors comme Nico, j’avoue que je ne connais les Monty Python que de nom mais les extraits sont sympas ; je vais donc caler un peu de temps pour découvrir cet humour décalé ! le concept de 7 cycles de 7 ans m’était inconnu mais en y réfléchissant sur mes propres expériences de vie, je trouve que c’est plutôt vrai

  3. Merci pour ce rappel… Car j’ai honte de l’avouer mais je n’ai jamais vu un seul film des Monty Pithon en entier… Que des extraits ! Pourtant je sais à quel point ils sont une référence de l’humour typiquement anglais. Je sais désormais par quel film je vais commencer 🙂 Merci Eric

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